Je n’ai pas encore travaillé à l’usine (Bienvenue 2023)…
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… et heureusement, je n’ai pas eu à le faire cette fois-ci non plus. Je me suis dit (avec l’accord de mon patron) que je mettrais tout le travail de côté lors de notre événement pour célébrer le Nouvel An. Je me suis assis, installé, et je me suis laissé emporter par l’atmosphère et l’émotion du moment, contrôlé uniquement par mon cœur et les boissons diaboliques. Nous avons perdu la vidéo dans le processus, mais je crois que les expériences, elles doivent surtout être vécues et appréciées. « Welcoming 2023 » est l’un des événements traditionnels dans notre société ; donc, la plupart de nos supporters savent de quoi nous allons parler. Le fait de savoir que vous savez me dispensera de tout répéter dans le détail et me permettra de continuer à écrire à bâtons rompus. Il n’en reste pas moins que je dois donner au moins quelques informations.
Bon, commençons. La fête pour le Nouvel An a eu lieu au début du mois de janvier. A cette date, la pandémie avait déjà disparu des médias (et donc de l’esprit des gens) ; il n’y avait donc aucune raison de repousser l’urgence et de ne pas organiser « Welcoming 2023 » à la date habituelle. « Vivat Liberty ! » et « Vivat, Crescat, Floreat Telegrafia ! » (Google va vous aider). Ceci pour indiquer brièvement le contenu du discours de notre chef, Peter Marčák. L’attente avant l’événement nous a donné des frissons -c’était terrible ! Dès le matin, nous avions entraîné nos estomacs à jeûner, pour qu’ils soient complètement vidés en début de soirée. Nous n’étions que trop impatients (les mots me sont venus dans la soirée). Cette année, la compagnie a loué l’espace rénové sur Južná Trieda qui abrite le « Bistro Bakoš » ainsi que le pôle socioculturel « Fabrika 48 » (la « Factory », comme on aurait pu la surnommer du temps d’Andy Warhol). Chapeau bas. C’est comme ça que les anciens bâtiments devraient être réutilisés. Après être entrés dans le bâtiment, mes yeux se sont posés d’abord sur les super voitures exposées, qui bordaient le chemin vers nos tables garnies. Mais certaines (toutes les) voitures ont vite céder la place quand on a pu voir les tables avec les boissons de bienvenue et les canapés.
Après le discours, nous avons appris à compter jusqu’à quatre : UN – un amuse-bouche ressemblant à un pâté de porc et … vous verrez ça sur la photo ; DEUX – une soupe de betteraves rôties ; TROIS – un magret de canard poché à la perfection ; et QUATRE – une poire chaude (lisez « tiède ») avec des biscuits et quelque chose qui n’était certainement pas un espuma au chocolat -ce mot espagnol désignant une mousse de crème aigre. Même si nous avons eu l’impression que certains des accompagnements avaient été mélangés, il n’y avait pratiquement rien à reprocher au menu. Miam ! Après le dessert, la leçon de maths a été immédiatement oubliée et la troupe s’est déplacée vers la zone du bistrot, où un spectacle du Peter Bič Project nous attendait dans une salle plus fraîche, mais toujours aussi atmosphérique. Ce qui semblait d’abord être un accompagnement artistique pendant que nous sirotions toutes sortes de boissons s’est ensuite transformé en un énorme concert, les gens remplissant la piste de danse et se laissant aller. Certains connaissaient déjà la musique ; d’autres venaient de découvrir qu’ils voyaient jouer les airs qu’ils entendaient quotidiennement à la radio. L’ensemble du spectacle a été un vrai régal pour les oreilles. Je tiens tout particulièrement à souligner les solos de guitare et de violon, d’une totale perfection. Le groupe a livré sa performance avec bravoure. Comme ils sont habiles, les musiciens de notre ville !
L’ambiance n’a pas changé, même après la prestation du groupe. Les mouvements, la joie et les vapeurs de nos collègues ont réchauffé tout ce bâtiment industriel. Pas grand-chose à dire ici. Nous nous sommes tous amusés, et seuls les courageux ont dansé. C’est comme ça que je le ressens. L’horloge a sonné minuit, ce qui peut être rapidement traduit par quelques tours de danse et quatre bières. Après ce chiffre, les mathématiques apprises lors de la première partie de l’événement m’ont lâché… C’était l’heure de la tombola. Cette année exclusivement sans paniers cadeaux mais toujours avec des livres. La sélection des prix axés sur les expériences s’est avérée révolutionnaire, et ce sont des cadeaux fascinants qui ont pris toute la place à la tombola. Les gagnants apprendront donc enfin à cuisiner, à lire, à voler, à faire du café ou à se contenter de remplir leur estomac. Tout cela pour tous. Pour moi, comptant parmi les représentants du deuxième étage, il y avait un lot de consolation : du schnaps de poire fait maison, provenant des mystérieuses caves de nos managers. Et il y eut, pour Monika, une autre représentante du deuxième étage, une autre sorte d’eau-de-vie de coing faite maison, soi-disant à mélanger au lait pour bébé. Quelqu’un veut-il insinuer quelque chose ? Nous sommes alors méga reconnaissants et encore pleins d’énergie, prêts à continuer jusqu’au matin… enfin, certains plus, d’autres moins. Il se trouve que je faisais partie des moins énergiques ; je vais donc terminer ce billet ici. L’alcool offert était épuisé et les cellules cérébrales de ma tête s’endormaient. Mais tout cela avec une perspective, de nouvelles expériences et aucun dommage durable.
Et voilà : un autre article sur un événement d’entreprise est sorti dans le monde ! Et j’espère, pour votre plaisir et le mien, que ce ne sera pas le dernier. Notre équipe aime s’amuser ; et la direction aime nous voir. Cela signifie que nous nous reverrons dans quelque temps, ou que vous lirez simplement des articles à ce sujet. Je ne sais pas pourquoi, mais je dois l’écrire : Il est temps de faire finalement claquer le fouet ! C’est un proverbe ; enfin, peut-être a-t-il plus de sens en slovaque qu’en anglais? 😉
Cet article a été écrit par
Róbert Jakab
Robert est comme une photographie en mouvement – parce qu’il est comme une vidéo. Il peut capturer 60 images par seconde. Chaque fois que quelque chose arrive, il l’enregistre. Actuellement, il travaille sur des vidéos courtes et espère faire un long métrage un jour, puis sa suite. « Telegrafia 2 : Monkey Power ».
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