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Une autre année, un autre été sont passés – un été infernal cette fois… Alors que ce dernier touche doucement à sa fin, disons-lui notre traditionnel « Au revoir ». Dire au revoir à l’été est l’une des nombreuses traditions et fêtes d’entreprise qui satisfont nos estomacs et resserrent nos relations professionnelles et amicales. Comment c’était donc ? Pour me mettre dans l’esprit de l’événement, c’était… molto bene. Alors, signore e signori, commençons par le début.

C’était un vendredi ordinaire ; et le temps mettait mentalement à l’épreuve nos esprits déjà détendus. Il pleuvait depuis le matin ; il y avait encore des averses, même au moment de commencer : la pluie allait-elle continuer dans l’après-midi ? Les organisateurs se demandaient si la pluie allait s’arrêter ou continuer lorsqu’ils ont finalement décidé de déplacer l’événement à l’intérieur par mesure de sécurité. Cependant, le temps s’est calmé et a fini par afficher un petit air de vendredi. La nourriture a tout de même été servie à l’intérieur, dans le bâtiment L7 récemment rénové, mais les gens sont sortis pour profiter du soleil de fin d’été.

La fête de l’Au revoir à l’été a démarré par quelques coups de fouet juste après trois heures, pour ainsi dire comme prévu. Les collègues, leur famille et leurs amis, progressivement rassemblés à l’intérieur et à l’extérieur, avaient le choix entre plusieurs programmes. Comme c’est toujours le cas après une longue journée de travail, la priorité pour la plupart d’entre eux ce qu’il y avait à manger. Comme le titre de cet article le laisse deviner, cari amici, le menu était habillé d’un trio tricolore basilic-mozzarella-tomates. Il y avait vraiment de quoi satisfaire tout le monde dans le menu italien : que vous ayez eu envie d’une pizza salée, charnue, sans gluten ou d’un plat sucré, il y avait un grand choix de plats pour vous. Oh ! et le vin n’a pas manqué lors du repas : donc tout ce qui restait dans votre estomac était immédiatement évacué et descendu avec la boisson. Je suis resté fidèle à moi-même et à la bière, une pression fraîche que j’étais très reconnaissant d’avoir trouvée sur la carte des boissons.

Comme l’événement était aussi destiné à nos proches, les plus petits et les plus jeunes n’ont pas été oubliés non plus. Nous nous sommes également réjouis de la présence de Malý Huncút, un atelier pour les jeunes enfants, qui a été un joli embellissement et, surtout, un fabuleux capteur d’attention pour nos (oups, vos) enfants. Il en va de même pour les ateliers créatifs pour enfants et adultes ainsi que la présentation de l’art populaire, qui faisaient partie du programme de cette année.

Si vous ne le savez toujours pas, après toutes ces années, la fête de l’Au revoir à l’été a lieu sur notre parking. Par conséquent, nous devons souvent enlever nos voitures du lieu de la fête. Cependant, cette année, nous l’avons fait principalement par « respect pour les aînés », les vétérans du club Veterano Žiar nad Hronom. Plusieurs véhicules de musée, garés en ligne devant le bâtiment, ont régalé nos yeux -et pas seulement chez les amateurs de voitures. Je considérerais bien ma vieille Fabia comme une voiture de collection, mais malheureusement, toutes les vieilles voitures ne sont pas de collection – là où les Veteranos ont une histoire et un châssis poli. Nous avons même eu le privilège de conduire certaines d’entre elles. Je crois vraiment que vous avez aussi profité de cette grande occasion.

L’événement s’est avéré être un grand succès, comme toujours. Le temps était une grâce de Dame Nature ; les divertissements étaient assurés avec les amis proches et les collègues (ou les proches collègues) ; et la nourriture provenait de la Botte, ce pays où nous aimons tous voyager en été. Nous sommes partis bien nourris, hydratés, de bonne humeur, et nos voitures nous ont ramenés à la maison 😊.

Addio estate ! Au revoir, l’été ! Et à l’année prochaine !

Cet article a été écrit par

Róbert Jakab

Robert est comme une photographie en mouvement – parce qu’il est comme une vidéo. Il peut capturer 60 images par seconde. Chaque fois que quelque chose arrive, il l’enregistre. Actuellement, il travaille sur des vidéos courtes et espère faire un long métrage un jour, puis sa suite. « Telegrafia 2 : Monkey Power ».