Les sirènes électroniques de Telegrafia sont installées partout dans le monde et leur rôle est assez souvent associé à un danger. Malgré les circonstances malheureuses qui peuvent survenir lors de la diffusion des messages d’avertissement et des signaux de nos sirènes, nous sommes heureux d’intervenir au bon endroit et au moment crucial. C’est-à-dire au moins quelques secondes avant que quoi que ce soit n’arrive.

Récemment, Telegrafia est intervenue dans le port de Napier en Nouvelle-Zélande (région de Hawke’s Bay) ; là, nos Pavian ont aidé à évacuer le port en raison du danger potentiel : un tsunami imminent. Il devait résulter d’un tremblement de terre dans les îles Kermadec, en mars 2021, qui avait atteint une magnitude de 8,1. C’était le plus important séisme des 45 dernières années dans cette zone, au nord-est de la Nouvelle-Zélande. Certains résidents de l’île du Nord ont reçu des SMS d’urgence leur demandant d’évacuer immédiatement. Les habitants de la côte ont été exhortés à quitter leur maison en raison d’un tsunami dévastateur.

Cependant, après plusieurs heures sous tension, l’avertissement a été rétrogradé d’une menace « terre et mer » à une menace « plage et mer » seulement -ce qui signifie que les habitants de la zone pouvaient rentrer chez eux. Les plages ont fait exception, car elles ont été confrontées à de forts courants et à des marées imprévisibles pendant plusieurs heures. Par conséquent, toutes les zones côtières et les fleuves sont restés « interdits d’accès » pendant un certain temps après la catastrophe.

Un système d’alerte annonçant la possibilité d’un désastre imminent effraya tous les Néo-Zélandais de la côte nord et les fit s’encourir tête baissée. Le son même des sirènes peut toujours nous faire peur. Dans ce cas, les gens étaient heureux que ce ne soit qu’un danger… potentiel. Heureusement, la menace s’est donc éloignée et l’avertissement a été annulé. La seule conséquence significative de l’alarme a été les embouteillages provoqués par l’évacuation immédiate. Mais demandons-nous : qu’arriverait-il si… ? Combien de vies auraient pu être sauvées grâce à l’alerte précoce fournie par le système d’alerte ?

Telegrafia propose plusieurs solutions d’alerte, facilement adaptables en fonction du type d’application, du lieu d’installation et du caractère du danger potentiel. L’un d’eux, qui a également été testé lors de l’urgence en Nouvelle-Zélande, est un système d’alerte portuaire. Comme mentionné dans l’introduction de cet article, les sirènes électroniques Pavian ont été impliquées dans l’évacuation du port de Napier. Après avoir été régulièrement testé pendant les quatorze mois précédents, le système d’alerte du port a été activé le 5 mars 2021, pour avertir les personnes, les visiteurs et les travailleurs du port de l’arrivée d’un éventuel tsunami, causé par un puissant séisme. Il a émis un avertissement d’évacuation pour la partie nord de l’île. Le port appartient à la zone de tsunami rouge. Plus de 500 usagers du port ont été évacués, dont 20 chauffeurs de camion et officiers publics qui ont dirigé l’évacuation des autres vers le belvédère de Bluff Hill.

En fin de compte, le port et la baie adjacente n’ont pas été touchés par les inondations ou subi de dommages importants ; cependant, ce qui ne peut pas passer inaperçu, c’est que le système d’alerte de Telegrafia a plus que bien fonctionné. En collaboration avec la direction locale des urgences, il a assuré une évacuation en douceur, rapide et sûre des civils de la zone. Bien que plusieurs lacunes aient été identifiées dans les communications entre certains membres du personnel portuaire au cours du processus d’évacuation, on peut rapidement les corriger.

Les questions comme « Qu’arriverait-il si… ? » ; ou « Combien de vies auraient pu être sauvées ? » n’ont pas de réponse précise. Mais « si », alors beaucoup de vies peuvent être sauvées. En savoir plus sur les solutions d’alerte de Telegrafia sur https://www.telegrafia.eu/fr/solutions/

Cet article a été écrit par

Róbert Jakab

Robert est comme une photographie en mouvement – parce qu’il est comme une vidéo. Il peut capturer 60 images par seconde. Chaque fois que quelque chose arrive, il l’enregistre. Actuellement, il travaille sur des vidéos courtes et espère faire un long métrage un jour, puis sa suite. « Telegrafia 2 : Monkey Power ».