La vieille ville de Bratislava comprend le centre historique et les zones adjacentes qui formaient sa banlieue immédiate au Moyen Âge. L’atmosphère chaleureuse de la vieille ville d’aujourd’hui, avec ses rues étroites et ses bâtiments pittoresques, attire des milliers de touristes chaque année. Sa superficie couvre 9,59 km², pour une population de près de 42 000 habitants. Ni les résidents permanents, pris dans leur routine quotidienne, ni les visiteurs appréciant la beauté des façades sculptées, des murs ornés des bâtiments et des monuments populaires ne peuvent savoir ce qui se trouve au-dessus de leurs têtes, installés au-dessus de ces bâtiments.

La sirène électronique Pavian est devenue une partie indispensable de la vieille ville de Bratislava. La sirène a été installée dans la zone la plus vulnérable de la ville dans le cadre de l’un des plus grands projets au monde – SEHIS, le système national slovaque d’alerte et de notification. Le système se compose de près de 3 000 sirènes électroniques Pavian qui ont été installées dans toute la République slovaque. Près de 160 de ces sirènes sont placées à Bratislava, la capitale. Ce système unique, optimisant sa fonctionnalité et minimisant les risques de défaillance, a déjà prouvé sa fiabilité et son avantage technologique. Il n’utilise que des sirènes entièrement électroniques avec des avertisseurs robustes et résistants aux intempéries, une technologie numérique, des unités de communication sans fil bidirectionnelles et une alimentation de secours de 72 heures en cas de panne. L’opérateur du système peut exécuter un test de sirène facilement et très rapidement, en obtenant tous les paramètres les plus importants de l’état de la sirène ; et il peut s’assurer que l’appareil est pleinement opérationnel chaque fois que nécessaire. Les appareils de Telegrafia ont toujours été développés dans le but de rendre leur fonctionnement interactif, transparent et convivial. En appuyant sur un seul bouton, toutes les sirènes électroniques installées dans le système SEHIS en Slovaquie enverront des commentaires aux opérateurs, concernant :

• l’état des haut-parleurs acoustiques,
• l’état des amplificateurs,
• la mesure de la tension de la batterie,
• l’état de l’alimentation / du chargeur,
• l’état des antennes et du câblage RF (perte de retour, force du signal RF, niveau du signal RF (uV),
• la mesure de l’impédance du haut-parleur,
• la tension d’entrée,
• la tension du convertisseur AC / DC,
• la mesure de la consommation de courant,
• la température à l’intérieur du boîtier de la sirène,
• la notification asynchrone – entrée non autorisée, activation locale de l’unité de contrôle, etc.

• La sirène Pavian de 600 W placée au sommet du bâtiment. Une vue de la rue Bezrucova. La sirène contient quatre avertisseurs de 150 W orientés dans des directions opposées. Ce modèle d’agencement convient aux alarmes pour couvrir une zone approximativement circulaire.

• La sirène Pavian de 600 W placée à 30 mètres seulement de la célèbre porte Michalska.

• La sirène Pavian de 300 W sur le toit du bâtiment principal de l’Université Comenius à Bratislava. La sirène électronique a deux avertisseurs d’une puissance totale de 300 W, générant un son de 103 dB (A)/30m. Grâce à la disposition de ses pavillons, la sirène peut diriger toute la puissance acoustique vers la zone la plus vulnérable ; elle est suffisamment forte pour transmettre un avertissement ou des messages vocaux en direct aux personnes en danger. Par contre, la sirène n’est pas bruyante au point de gêner les passants.

• La sirène Pavian de 1200 W peut générer un son de 115 dB (A)/30 m, le son le plus fort recommandé pour les zones urbaines par Telegrafia. Toute sirène plus forte pourrait endommager inutilement l’ouïe humaine, en particulier lorsqu’il y a un certain nombre de sirènes montées sur des bâtiments à étages dans des zones densément peuplées. Les 8 avertisseurs avec haut-parleurs de 150 W, montés sur un mât de 8,9 mm d’épaisseur, sont représentés sur la photo.

Cet article a été écrit par

Miroslava Malachovska

Miroslava est directrice marketing. Elle travaille pour Telegrafia depuis plus de douze ans. Elle a débuté en tant qu’assistante au département commercial et a travaillé ensuite comme coordinatrice de centre de formation. Depuis son retour de congé maternité, elle travaille pour le service marketing. Toute son expérience et les connaissances acquises lui donnent une base solide pour le travail stimulant et créatif qu’elle accomplit actuellement pour le service marketing. Elle adore courir et garde la forme en s’entraînant régulièrement et en se préparant pour des compétitions de semi-marathon.