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Nom du projet :  Système d’alerte précoce (SAP) de la mine à ciel ouvert de Kitwe
Lieu :  Région de Kitwe, Zambie
Nombre total de sirènes :  1 sirène Bono 100 W
Date de fin d’installation :  Mars 2021
Objectif du projet :  sirène puissante dans un environnement de mine à ciel ouvert

Les systèmes d’alerte et de communication de Telegrafia semblent gagner en popularité en Afrique australe et centrale. De nombreuses demandes de renseignements sont en cours de la part de clients au Nigeria, en Ouganda, en Zambie, en Namibie et en Afrique du Sud. La facilité d’entretien et la grande efficacité des produits Telegrafia sont parfaits pour l’Afrique, surtout que les coupures d’électricité y sont assez fréquentes.

En plus des demandes de l’Église concernant les systèmes de cloches d’église Urban, nous recevons de fréquents appels pour les sirènes Telegrafia. Plusieurs unités autonomes Car Screamer et Bono ont ainsi été vendues récemment à des mines à ciel ouvert en Zambie. La mine à ciel ouvert de la région de Kitwe en Zambie estime que le système autonome Bono est facile à installer et à utiliser et qu’il convient parfaitement à l’usage qu’elle en a.

Le système Bono a été vendu tout équipé et installé, en utilisant des panneaux solaires, des câbles et des accessoires achetés sur place, ce qui a permis de réduire les coûts d’emballage et de livraison.

Le client est stupéfait de la clarté du son et ne manquera pas de garder les produits Telegrafia sur la liste des systèmes d’alerte fiables qui peuvent résister au soleil africain et aux conditions difficiles.

Cet article a été écrit par

Michal Rosinki

Michal a vécu dans six pays et parle quatre langues. Il représente Telegrafia aux États-Unis, en Asie, en Australie et dans les pays germaniques en tant que cadre commercial international. C’est un grand fan de Jamie Oliver ; et, s’il mange sainement, il aime bien faire quelques écarts… Pour lui, Mark Twain se trompe : les gens ne peuvent pas vivre d’un bon compliment pendant deux mois. Michal est un rat de bibliothèque ; il croit en la « neuroplasticité du cerveau fonction de l’expérience » et qu’elle s’enracine dans l’idée de ce sur quoi nous nous concentrons. Il est d’accord avec Raj Koothrappali qu’Aquaman est nul ; il sait bien que ce n’est pas le mont Everest mais le volcan Olympus Mons qui est la plus haute montagne connue de l’homme.