Regardons les choses en face : nous avons un gros problème. Et par « gros », j’entends « mondial ». Si vous visitez notre blog régulièrement ou même occasionnellement, vous savez certainement que les articles sur les conséquences des caprices de la météo ne manquent pas. Inutile même de les citer. Cet article n’est qu’un constat, ou plutôt une mise en garde des lecteurs.

Si vous avez beaucoup de temps libre, des vacances ennuyeuses ou si vous êtes entre deux emplois, vous pouvez peut-être lire le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Après deux mille pages, vous vous arrêterez peut-être pour vous rendre compte de la gravité de la situation. Si vous n’avez pas autant de temps, sachez que le réchauffement climatique, c’est-à-dire le réchauffement de la terre, des océans et de l’atmosphère, est principalement causé par l’homme. Les changements climatiques récents sont les plus importants et les pires depuis des centaines, voire des milliers d’années. Selon les prévisions, la température à la surface de la terre aura augmenté de 2 degrés Celsius d’ici la fin du 21e siècle. D’accord, ce dernier fait est seulement possible, mais pour l’éviter, il faut réduire considérablement le dioxyde de carbone et les autres gaz à effet de serre au cours des prochaines décennies. On dit souvent aux gens de commencer par eux-mêmes. Cependant, le processus de rétablissement de la santé de la planète est une longue chaîne ; et si certains de ses composants ne se conjuguent pas bien les uns aux autres, l’objectif ne peut être atteint. Le monde, les individus, leur façon de penser, la société, les gouvernements, les multinationales doivent changer, et de préférence en partant du dernier cité. Alors, faisons-le.

D’ici là, nous devrons nous habituer à ce que la nature devienne de plus en plus imprévisible. Les phénomènes météorologiques extrêmes deviendront plus fréquents et leurs conséquences seront plus dévastatrices. Sous forme d’inondations, de cyclones ou de tornades, les catastrophes se produiront régulièrement ; et les températures record ne resteront record que le temps d’une année. Les humains se sont déjà battus contre les animaux pour se nourrir et, les uns contre les autres, pour la liberté, pour un territoire ou encore pour une idéologie. Aujourd’hui, nous nous battons contre la météo et nos égos pour notre propre vie et celle de notre planète.

Les derniers tremblements de terre en Haïti, les inondations en Allemagne, les incendies en Sibérie, en Grèce ou en Turquie, les tornades en Europe centrale et les vagues de chaleur extrême au Canada ne sont que quelques exemples révélateurs de l’acuité du problème. Le monde entier est en « mode entraînement ». En plus de s’attaquer aux problèmes de réchauffement, il cherche également les meilleurs moyens de protéger ses habitants contre des catastrophes en grande partie inévitables. On fait des miracles d’ingénierie, grâce à quoi les gens peuvent mieux s’adapter au côté obscur de la météo. Mais des projets à plusieurs millions de dollars nécessitent des années de travail ; or, c’est le temps qui joue actuellement contre nous.

Parfois, l’essentiel fait défaut et quelques secondes pourraient aider. La prise de conscience par les gens d’un danger imminent pourrait être d’une grande aide dans leur lutte pour sauver d’innombrables vies. Mais dans de nombreux cas, cette prise de conscience est également absente. Telegrafia développe des systèmes d’alerte électroniques et les expédie dans le monde entier. Leader du marché des sirènes électroniques, elle propose également des solutions spécifiques pour se protéger de diverses catastrophes naturelles. Quelle que soit la taille ou la complexité de la zone concernée, l’entreprise peut fournir des dispositifs d’alerte aux personnes et les aider à se créer ou à augmenter le temps de réaction.

N’hésitez pas à nous contacter. Notre équipe commerciale préparera pour vous une solution sur mesure et vous guidera tout au long du processus, de la conception à la mise en œuvre du projet. Même votre inquiétude peut être un cri d’alarme.

L’ensemble de l’article peut sembler très négatif ; cependant, il y a un « mais ». Je veux dire deux « mais » : l’effort et l’espoir. L’avenir proche montrera quelle direction l’humanité va emprunter. Les gens peuvent éviter de nombreux problèmes en prenant les mesures appropriées. Pour ce que nous ne pouvons plus éviter, nous pouvons garder l’espoir : c’est que les sirènes de Telegrafia retentissent pour nous avertir. Nous n’avons pas besoin d’être partout, mais seulement là où c’est nécessaire.

Cet article a été écrit par

Róbert Jakab

Robert est comme une photographie en mouvement – parce qu’il est comme une vidéo. Il peut capturer 60 images par seconde. Chaque fois que quelque chose arrive, il l’enregistre. Actuellement, il travaille sur des vidéos courtes et espère faire un long métrage un jour, puis sa suite. « Telegrafia 2 : Monkey Power ».