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Ne nous voilons pas la face. Nous arrivons à un point où une intervention puissante de l’humanité pour préserver notre planète pour des générations est inévitable. Nous sommes dans cette misère depuis plusieurs années ; et les faits qui nous guident devraient être ceux basés sur le manque d’effort de l’homme pour changer la situation. Le climat dans le monde est devenu si critique que même la nature ne peut y faire face. Le réchauffement de la planète est indiscutable ; alors, pourquoi les températures de l’océan Pacifique baissent-elles actuellement ?

Beaucoup ne savent peut-être pas ce qu’est La Niña. Avec son homologue El Niño, ce sont les principaux moteurs de la variabilité du système climatique de la Terre. La Niña fait référence à la baisse des températures de l’eau dans les couches superficielles de l’océan. El Niño, quant à lui, est responsable de leur augmentation. Ces deux phénomènes semblent fonctionner comme le yin et le yang, se déclenchant l’un l’autre. Chacun d’eux a un impact opposé sur le temps et le climat. D’après l’histoire et ses enseignements, on sait que la période de refroidissement dure un an ou deux. Ce qui rend la situation actuelle particulière et peut-être plus grave, c’est que l’impact de La Niña dure depuis trois ans et n’a pas suivi la période de réchauffement précédente. Elle a déjà atteint son pic, semble-t-il, mais ses effets sur le climat seront présents pendant un certain temps encore. Quel genre d’effets, me direz-vous ?

Indépendamment de la hausse constante des températures moyennes de l’air, qui continuent d’augmenter malgré le phénomène El Niño, c’est l’eau qui perturbe des zones spécifiques de cette planète. Deux polarités se forment : les endroits où les précipitations sont inférieures à la moyenne et où sévit donc la sécheresse (Europe, Asie centrale ou Afrique centrale) ; et les endroits où les précipitations sont extrêmes, où l’humidité de l’air est élevée et où le sol est incapable d’absorber l’eau produite par les pluies incessantes après les trois années de La Niña (Australie et certaines parties de l’Amérique du Sud et de l’Afrique).

Les extrêmes météorologiques sont la principale raison pour laquelle les catastrophes naturelles se produisent. Comme le nombre de catastrophes naturelles augmente de façon spectaculaire, le monde humain doit se préparer. Les flammes sont d’un côté de la pièce de monnaie imaginaire et les pluies torrentielles, les inondations et les glissements de terrain, de l’autre. À une époque où ces événements sont si dramatiques, réguliers et de plus en plus fréquents, il est essentiel de pouvoir se défendre contre leurs conséquences.

Dans chacun des cas susmentionnés, indépendamment du territoire et de la menace, Telegrafia peut fournir une solution pour combattre les effets indésirables des éléments naturels sous forme d’alerte précoce, donnée par des sirènes électroniques. Pour le dire autrement, si les gens ne sont pas informés d’un danger aigu, ils ne peuvent pas réagir de manière adéquate. En fin de compte, cela peut faire la différence entre la vie et la mort.

Par conséquent, si vous souhaitez en savoir plus sur cette aide sonore, les sirènes électroniques ou nos solutions dans ces situations, visitez notre site Web à l’adresse www.telegrafia.eu. Seule Mère Nature sait comment et quand elle va montrer sa puissance. Mais avec nous, vous serez prêt à résister à ses embûches.

Cet article a été écrit par

Róbert Jakab

Robert est comme une photographie en mouvement – parce qu’il est comme une vidéo. Il peut capturer 60 images par seconde. Chaque fois que quelque chose arrive, il l’enregistre. Actuellement, il travaille sur des vidéos courtes et espère faire un long métrage un jour, puis sa suite. « Telegrafia 2 : Monkey Power ».